Didier Porte: tous les Bessons sinon rien!

Didier Porte s'attaque à Luc Besson, Patrick Besson, Philippe Besson, afin de voir si le Président de Radio France s'excuse comme il l'a déjà fait pour Eric Besson...Puis revient notamment sur l'annulation de la venue de François Fillon au JT de TF1.  Et la dernière partie est consacrée à Ali Soumaré.


Le début : "Dites-moi monsieur Akhénaton (NDLR : l'invité de l'émission), vous n'avez jamais tourné de film avec le producteur Luc Besson ? C'est regrettable, ça m'aurait donné l'occasion de dire que Luc Besson a un gros bide, qu'il est mal rasé et qu'il est moche. Il a aussi de vilaines oreilles et un nez disgracieux. Oui, je sais, c'est pas très gentil ce que je dis là. C'est juste pour voir si Jean-Luc Hees se reexcuse (...)"

Carlier: Madeleine, Huguette et Patrick Sébastien

L’animateur télé lance un rassemblement citoyen pour faire pression sur les politiques.

Canteloup: "La taxe carbone, pas à 300 ans..."

Jean-Louis Borloo a bien du mal à justifier l'ajournement de la taxe par le gouvernement. Il était dans La Revue de Presque de Nicolas Canteloup dans Le Grand Direct des Médias.

Daniel Morin: Jean Reno ou Pierre Bergé?

Retrouvez tous les jours les chroniques du fou du roi de Daniel Morin à 11h05 sur Radiosprog.

Didier Porte calme le jeu

"Vous avez entendu le discours du chef de l'Etat hier midi. Génial, hein ? A la fin de son allocution, on a senti comme une immense bouffée de soulagement et d'espoir retrouvé, diffusée dans tout le pays. Hein, vous l'avez senti ça ! Une sorte de grand ouf collectif, ça y est notre Président est de retour, il va continuer à faire le job, yes ! Déjà, après l'anonce du remaniement, on avait senti un regain d'allégresse et de vraie joie de vivre chez les Français. Dans les rues, dans les transports en commun, les gens sautillaient gaiement, s'exclamant "Ouais, c'est super, François Baroin est nommé au Budget" et d'autres surenchérissaient "ah ouais, ça fait un bien fou, et depuis le temps qu'on attendait Georges Tron à la Fonction publique, quel pied" (...)"